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DIVERS
Une
maladie de notre temps
Le stress est souvent
décrit comme l'une des grandes maladies de notre époque, surtout dans le travail.
Engendré par l'ensemble des contraintes que nous subissons chaque jour, il serait à
l'origine de la plupart des maladies coronariennes, des ulcères à l'estomac ou encore de
dépressions et de l'absentéisme.
Avant de décrire plus précisément les causes et les symptômes du stress, voici
quelques données sur l'ampleur de ce phénomène |
LE STRESS TUE
Selon le BIT (le Bureau International du Travail, qui siège à
Genève et est un organisme important pour l'étude des conditions de travail), dans son
rapport annuel de 1993, le stress est « l'un des plus graves problèmes de notre temps
». Le stress provoque un très grand nombre de maladies, et, dans certains pays, il
serait mémo mortel : c'est le cas, par exemple, au Japon, où le syndrome d'épuisement
nerveux semblable à notre stress s'appelle le karoshi. Il s'agit d'une maladie redoutée,
due à l'épuisement physique et nerveux provoqué par le travail. Le karoshi touche des
employés modèles qui travaillent vingt-quatre heures sur vingt-quatre, et qui, au bout
d'un certain temps, sombrent dans l'apathie, dans un épuisement qui peut les conduire à
la mort (mais, heureusement, les cas sont fort rares).
Le stress dans le travail concerne les employés qui s'investissent trop dans leurs
tâches, et se déroule selon un schéma désormais classique : dans une première phase,
le jeune diplômé montre beaucoup d'enthousiasme et d'énergie. Il travaille constamment
pour faire sa place dans l'entreprise ou gravir plus rapidement les échelons de la
hiérarchie. Au bout de quelque temps, le carburant nerveux vient à manquer, et il
commence à se plaindre de fatigue, de troubles du sommeil, d'irritabilité excessive.
Puis, progressivement, apparaissent les signes d'épuisement nerveux et physique, marqués
par un état dépressif important.
On pourrait ra pprocher de cet état le « syndrome des guppies »,qui se manifeste aussi
par une profonde fatigue, et qui est d'origine inconnue. Pour les Américains, très
nombreux à être affectés par cette maladie, elle serait d'origine virale, alors que les
médecins français penchent plutôt pour une origine psychologique.
LES VICTIMES DU STRESS
Toujours selon les études américaines, le stress au travail
reviendrait très cher, puisque son coût est évalué, uniquement aux États-Unis, à 200
milliards de dollars par an, soit approximativement 1000 milliards de francs, en raison
des soins médicaux, de l'absentéisme au travail et de la baisse de productivité. En
Europe, le stress serait également à l'origine de millions d'heures de travail perdues.
On parle souvent du stress du manager ou des financiers, qui seraient soumis à des
contraintes importantes. Mais, dans la réalité, ce ne sont pas ces professions qui sont
les plus fatigantes ni les plus stressantes : les plus dangereuses, à cet égard, sont
les métiers soumis à un environnement bruyant (mécanique, travaux du bâtiment,
fonderie, etc.), routinier (travail à la chaîne), mais ceux-ci ont tendance à
disparaître aujourd'hui. Sont aussi concernés les métiers supposant un investissement
nerveux important de la personne : infirmière, instituteur, coursier, standardiste,
contrôleur aérien.
Tout ceci ne nous dit pas ce qu'est le stress. Il est vrai qu'il n'existe aucune
définition admise par tous les médecins, et que, depuis cinquante ans, la conception du
stress a beaucoup évolué.
LE SYNDROME
D'ADAPTATION
On doit l'idée de stress à un chercheur canadien, Hans Selye, qui,
le premier, a décrit le stress ou « syndrome général d'adaptation » dans les années
1930.
Ce biologiste avait remarqué que lorsque l'on soumet une population d'animaux à une
contrainte quelconque (par exemple un injection de produit, mais aussi une surpopulation,
une rest riction alimentaire ou encore une température trop faible), ils tombent malades
et meurent. À l'autopsie, on retrouve presque toujours un phénomène qui était à
l'époque inexpliqué : l'augmentation de volumes des glandes surrénales. Ces minuscules
glandes hormonales, situées au-dessus du rein, ont un rôle fondamental dans l'activité
du système nerveux sympathique, en sécrétant de nombreuses hormones dont la plus connue
est l'adrénaline.
Prenons un exemple : lorsque vous subissez un stress, c'est-à-dire lorsque vous éprouvez
une « agression quelconque » (elle peut être tout à fait minime et sans danger, comme
le fait de prendre la parole en public), votre rythme cardiaque s'accélère, vous devenez
pâle ou vous transpirez à grosses gouttes. Si la peur ou l'émotion est plus intense,
les réactions physiques peuvent être plus importantes, avec, par exemple, des
vomissements ou une perte involontaire des urines. Toutes ces réactions sont dues à la
production excessive d'hormones et sont à la longue responsables de véritables maladies
: on a décrit ainsi des ulcères de l'estomac ou des maladies des coronaires provoqués
uniquement par un stress. C'est l'exemple classique de rats de laboratoire à qui l'on
donne à la fois de la nourriture (récompense) et une décharge électrique (punition) le
même stimulus engendre à la fois plaisir et douleur. Ne sachant comment interpréter ce
stimulus contradictoire, le rat fait rapidement un ulcère à l'estomac, comme le prouve
l'autopsie de son cadavre.
L'ensemble de ces signes constitue ce que l'on appelle « le syndrome général
d'adaptation » ou stress (ce mot désigne à la fois la cause et l'effet de l'agression).
Il s'agit d'un ensemble de symptômes non spécifiques, qui se manifestent quel que soit
l'agent agresseur ou l'événement, et viennent bien entendu s'ajouter aux symptômes
spécifiques de l'agression (signes infectieux, traumatiques, etc.).
LES TROIS PHASES
Selon les travaux de H ans Selye et de ses successeurs, le syndrome
d'adaptation se développe en trois phases.
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La réaction d'alarme :
c'est la phase initiale, où apparaissent les premières réactions à l'agression. Chez
l'homme, la réaction d'alarme est bien connue : le coeur s'accélère, la respiration est
courte et rapide, et il y a des modifications de la répartition du sang dans l'ensemble
de l'organisme. |
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Le stade de résistance :
le corps est bien adapté à l'agression, par exemple lorsque celle-ci est permanente
(froid). |
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Le stade d'épuisement :
le corps est débordé par le stress si celui-ci persiste. Vous tombez malade ou vous
mourez parce que vos capacités de résistance sont débordées.Prenons un exemple : vous
vous êtes égaré en montagne et il fait de plus en plus froid. La première phase est la
réaction d'alarme : vous sautez sur place, vous bougez, vous vous roulez en boule, le
sang se redistribue dans l'organisme pour irriguer en priorité les viscères. Puis s'ins
talle la phase de résistance : vous résistez au froid, mais le sang se retire de plus en
plus des extrémités et des membres pour irriguer surtout les organes nobles (cerveau,
coeur). Enfin, arrive la phase d'épuisement : votre corps ne résiste plus au froid, la
température centrale s'abaisse et vous pouvez mourir si les secours n'arrivent pas. |
Pendant longtemps, l'on n'a pas très bien compris pourquoi le
corps réagissait ainsi à l'agression. Dans toutes les situations où nous sommes en
danger, consciemment ou inconsciemment, nous réagissons exactement de manière identique.
L'interprétation de ce comportement de l'organisme a été surtout expliqué par le
chercheur français Henri Laborit : pour lui, en circonstance de stress, l'organisme se
met dans une situation chimique et hormonale correspondant à l'une des deux réponses
possibles : la fuite ou la lutte. En effet, lorsque nous sommes agressés ou que nous
avons peur de l'être, nous n'avons en général que le choix entre ces deux so lutions.
Or l'organisme, en accélérant le coeur et la respiration se met précisément dans des
conditions de fuite ou de lutte.
Ces notions sur les réactions de l'organisme au stress ne correspondent pas entièrement
à ce que l'on appelle ainsi dans la vie courante. En fait, tous les jours nous sommes
soumis à des situations stressantes : le bruit, les embouteillages, le retard d'un train,
les conflits avec les supérieurs au travail, toutes les contrariétés que l'on rencontre
couramment dans la vie familiale... Tout, ou presque, est facteur de stress ! A cette
liste, il faut ajouter les événements majeurs de la vie, qui constituent autant de
stress : mariage et divorce, déménagement, recherche d'un emploi, chômage, décès des
proches...
LES ATTITUDES DE
RÉPONSE
Cependant, il ne faut plus aujourd'hui considérer le stress comme
une agression subie ; nous ne sommes pas désarmés devant cette angoisse.
Plutôt que de s'attarder sur les causes du stress, il est plus important de s'intéresser
à la façon dont chacun d'entre nous y réagit. Certes, presque tous les événements de
la vie sont source d'anxiété, mais ceci ne veut pas dire que tout le monde soit anxieux
et angoissé. On peut avoir une existence très stressante et continuer à être détendu
et à bien dormir la nuit.
Il y a deux façons de comprendre cette réaction. Pour nombre d'individus, le stress est
vécu de façon positive : il leur faut une agression extérieure pour se sentir bien et
travailler correctement. Ils ont besoin de conflits, de situations d'urgence pour donner
toute leur mesure. C'est souvent le cas des médecins, des hommes politiques, des chefs
d'entreprise qui veulent être confrontés chaque jour à des situations nouvelles. Il
existerait ainsi plusieurs attitudes vis-à-vis du stress, et celles dont nous venons de
parler en représentent un type caractéristique.
Dans le deuxième cas, nous sommes fortement agressés par le stress, mais nous sommes
capa bles de mettre au point des parades, ou des mécanismes de défense qui nous
permettent de réagir positivement. Alors que les premiers privilégient l'affrontement
contre le stress (« ça passe ou ça casse »), les seconds préfèrent la fuite : dès
qu'il y a un événement stressant, ils essaient de s'accommoder de la situation et de se
relaxer. Ces techniques de défense sont très variables d'un individu à l'autre, car
chacun possède ses propres méthodes pour se détendre, et diminuer son degré de
colère. Pour certains, il suffit de fumer une cigarette, faire quelques pas ou s'étirer.
D'autres s'étendent quelques instants, font du jogging, ou vont au cinéma pour se
changer les idées.
En fait, il ne faut pas considérer qu'il y a le stress d'un côté et l'individu de
l'autre. La vie consiste à s'adapter en permanence à des événements imprévus ou
difficiles et à trouver pour soi les meilleurs moyens de lutter contre (ou de fuir) les
événements stressants.
LES SIGNES DU STRESS
Les réactions aux facteurs de stress peuvent se manifester par de
la nervosité, de l'irritabilité, de l'insomnie, de la fatigue, des migraines, de
l'anxiété. Mais la réponse prend parfois une forme plus aiguë : on observe alors des
ulcères de l'estomac, des infarctus du myocarde, des hypertensions, voire même des
tumeurs.
Deux systèmes principaux interviennent dans ces réactions :
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Le système nerveux : sa
stimulation aboutit à la sécrétion d'hormones, les catécholamines et notamment de
l'une d'entre elles, l'adrénaline. Cette réaction est très raide et assez brutale. |
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Le système endocrinien :
au cours d'une réponse beaucoup plus lente, il sécrète de la cortisone.La mise en
oeuvre de ces deux systèmes suscite des réactions cardio-vasculaires, digestives et
métaboliques. Les manifestations cardio-vasculaires se caractérisent, en particulier,
par une accélération de la fréquence cardiaque et une augmentation du débit sanguin. |
La libération de cortisone va se traduire par un mauvais
fonctionnement du système immunitaire ou par certains ulcères de l'estomac.
Le stress aurait une action, dont l'importance ne nous est pas encore bien connue, sur les
mécanismes de défense de l'organisme, les ressources immunitaires. Des études montrent
que des individus fortement stressés (décès du conjoint, chômage,...) présentent une
baisse significative, dans le sang, des lymphocytes, les cellules chargées de produire
les anticorps. C'est pourquoi le fait d'être stressé rend plus fragile aux infections.
Vous pouvez le remarquer facilement sur vous-même : lorsque vous êtes mal dans votre
peau, vous attrapez plus facilement une grippe, une angine ou une sinusite. A l'inverse,
si vous êtes en pleine forme, vous ne serez pas affecté par les infections virales,
même si tout le monde, autour de vous, est malade.
Maladies cardiaques, respiratoires, digestives, mais aussi anxiété, insomnie, fatigue,
migraines, infections, sans oublier les accidents plus fréquents chez les personnes
angoissées : en fait, il faudrait faire le tour de la pathologie pour parler des
symptômes du stress, et il est vrai que celui-ci, en modifiant l'équilibre nerveux et
hormonal de l'organisme, peut provoquer un très grand nombre de maladies.
Mais ceci ne veut pas dire que le stress soit la cause universelle des maladies : ce
serait trop simple, et c'est entièrement faux. La grippe, par exemple, est bien due à un
virus, mais la baisse de l'immunité naturelle provoquée par le stress y rend davantage
sensible. De même, l'on sait aujourd'hui que l'ulcère de l'estomac est sans doute
provoqué par une bactérie : dans cette hypothèse, le stress n'est pas la cause de la
maladie, mais un facteur favorisant.
Il faut surtout se rendre compte qu'il est illusoire de vouloir soigner les maladies une
par une, sans tenir compte de la situation dans laquelle vous vous trouvez. Si vous avez
des migraines à répétition, il n'est peut-être pas absolument nécessaire de prendre
constamment des médicaments dangereux et coûteux. Il est souvent plus utile de résoudre
les conflits de la vie quotidienne, parfois à l'origine de cette migraine. N'hésitez pas
à en parler à votre médecin : vous verrez que beaucoup de maladies disparaissent comme
par enchantement dès que vous vous sentez mieux dans votre peau.
BON À SAVOIR
Les conséquences du stress sur le plan digestif peuvent être
des vomissements, des diarrhées, mais aussi certains ulcères |
LUTTER CONTRE LE
STRESS
En raison de ce que nous avons dit dans les pages qui précèdent,
il n'y a pas de remède universel contre le stress. C'est à chacun d'entre vous
d'élaborer la stratégie qui vous convient le mieux, tout en sachant que le stress est un
mal nécessaire et commun. Vous n'avez aucune chance d'y échapper, et parfois vous le
recherchez, il est donc préférabl e de mettre au point une technique de défense.
Il existe cependant des règles générales, qu'il est important de respecter. Elles
relèvent essentiellement de l'hygiène de vie. Voici quelques-unes de ces règles.
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Essayez autant que possible de
vivre dans une ambiance familiale et sociale agréable. Se protéger du stress, c'est
d'abord avoir des amis et une famille avec qui l'on s'entend bien. La solitude aggrave les
problèmes, parce que vous ruminez vos difficultés et que vous n'avez personne à qui en
parler. En revanche, si vous passez une joyeuse soirée avec des amis, en oubliant vos
difficultés, vous verrez que le lendemain elles seront déjà à moitié résolues. |
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Développez vos loisirs. Il est
important que toute votre vie ne soit pas centrée sur le travail. Ayez à côté une
activité complémentaire qui vous permette de changer de centre d'intérêt : bricolage,
lecture, photographie... Ce ne sont pas les idées qui manquent! |
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Faites du sport. L'exercice
physique es t essentiel et trop souvent oublié. Nous développons un peu plus loin tous
les principes que doivent suivre les débutants. Retenez que le sport a un rôle
prépondérant pour atténuer les effets du stress. |
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Surveillez votre alimentation la
diététique a un rôle également fondamental. Apprenez à vous alimenter correctement,
en faisant un bon petit déjeuner et en mangeant plus légèrement le soir. Faites
attention au café, au tabac et à l'alcool. Certes, ils agissent souvent comme des
calmants dans des situations stressantes, mais l'escalade est dangereuse, et ils ne font
alors que renforcer l'angoisse. |
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Ménagez-vous un moment
quotidien de détente : lorsque vous rentrez chez vous, allongez-vous dans l'obscurité,
si possible sans bruit, pendant quelques minutes. Vous pouvez adopter une position qui
permette en outre de soulager votre dos, en vous étendant par terre, la tête bien calée
par un petit coussin placé sous le cou, et les jambes fléchies et surélevées,
appuyées sur le re bord de votre lit ou d'un canapé. |
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Rééduquez votre sommeil.
Lorsque l'on est stressé, on devient facilement insomniaque, et c'est la fuite dans une
consommation effrénée de somnifères, bien connue chez les Français. Apprenez à dormir
correctement, selon les principes que vous trouverez un peu plus loin dans ce chapitre. |
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Relaxez-vous : la détente
quotidienne que vous vous offrez peut être suffisante, mais vous pouvez aller plus loin,
soit en salle de gymnastique en suivant des cours de culture physique, de stretching, de
yoga, ou, tout simplement, en allant au sauna. |
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Si vous suivez tous les
principes énoncés ci-dessus, il y a de fortes chances que vous supportiez beaucoup mieux
les différents stress de votre existence. Néanmoins, si les difficultés persistent,
n'hésitez pas à consulter votre généraliste, qui vous conseillera éventuellement de
consulter un spécialiste. Certes, de nombreux petits maux sont dus au stress, mais il est
imprudent de négliger un symptôme persistant. |
ATTENTION DANGER
Le sauna est très fortement déconseillé aux personnes
souffrant de troubles cardio-vasculaires, asthmatiques ou atteintes de claustrophobie.
LE PALMARÈS DU
STRESS
Il existe plusieurs méthodes pour classer les stress. Voici,
selon différentesenquêtes, les événements qui sont considérés comme les plus
stressants dans l'existence :
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décès du conjoint |
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divorce |
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séjour en prison |
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décès d'un parent proche |
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maladie |
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chômage |
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retraite |
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grossesse |
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déménagement |
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changement de
métier.D'autres événements sont considérés comme stressants : le décès d'un ami,
les discussions avec le patron (et avec le conjoint), le départ des enfants, voire le
succès personnel ! Trop de succès peut être mal vécu... |
LES
VERTUS DU SAUNA
C'est une technique nordique qui utilise la
chaleur sèche, à des températures souvent proches de 100°C, maintenues grâce à des
structures en bois permettant de bien retenir la chaleur. Pour profiter au mieux de ses
effets bénéfiques, en terme de détente et d'élimination des toxines, quelques règles
simples doivent être respectées. Les préceptes généraux sont les suivants :
 |
évitez les séances de sauna
immédiatement après l'effort |
 |
ne dépassez pas deux séa
nces par semaine |
 |
il ne faut pas rester plus de
dix minutes de suite à l'intérieur, et une séance complète ne doit jamais dépasser la
demi-heure dans la pièce chaude |
 |
les températures élevées
doivent être atteintes progressivement, et certainement pas lors de la première séance |
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évitez de lire le journal :
sous l'effet de la chaleur, il risque de provoquer des émanations de plomb,
particulièrement toxiques |
 |
buvez abondamment auparavant |
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respectez la règle du chaud
et froid : après vous être douché à l'eau tiède, choisissez votre place en fonction
de votre aptitude à supporter la chaleur (qui s'élève avec l'altitude) et
installez-vous quelques minutes dans le sauna, assis ou allongé sur une serviette |
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projetez régulièrement de
l'eau (que vous pouvez parfumer à l'eucalyptus) sur les pierres chaudes |
 |
sortez prendre une douche
froide quelques instants et revenez dans le sauna; restez de nouveau quelques minutes,
puis sortez définitivement, ou bien prolongez encore d'un cycle |
 |
une fois sorti, et après
avoir pris une dernière douche ou un bain froid (les Scandinaves, eux, se jettent dans la
neige !), accordez-vous un long moment de repos, allongé et revêtu d'un peignoir |
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Enfin, n'oubliez pas de boire
abondamment après.Le sauna est une excellente méthode de relaxation, ne restez-pas plus
de dix minutes au début |
Les vertus du sauna sont nombreuses, que ce
soit pour lutter contre le stress, l'insomnie, les rhumatismes et douleurs
musculo-articulaires , ou bien pour embellir et assouplir la peau, mais sachez qu'en aucun
cas vous ne maigrirez grâce à cette techniqu e ! La perte de poids que vous pourrez
constater est en réalité due à la sudation, et vous récupérerez rapidement cette eau
perdue.

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